Découverte du planeur avec une grande Dame des airs

Depuis que je vole, s’il est une chose que je fais régulièrement, c’est bien de prendre un peu de temps pour relire un petit récit de Laurence Viard. En matière de parapente, pour moi qui suis quasi-exclusivement intéressé par l’extrême sud-est, plus de 10 ans après, ses vols exploratoires m’apparaissent toujours d’une qualité remarquable. Quand j’ai lu les premières récits de Laurence, je me suis dit : « c’est exactement ça que je souhaite faire ». Envie insatiable de découverte, audace et détermination, tout ce que j’adore !!!

Parallèlement à cette passion de longue date pour cette idole que je n’ai jamais eu l’honneur de rencontrer, depuis quelques mois, je m’intéresse timidement au planeur. Il n’est pas (encore) question de m’y mettre, mais j’apprécie beaucoup l’aspect ludique des simulateurs et je suis également bien curieux de voir ces aéronefs voler dans des contextes différents, ça donne des idées.

Quand Bruno Dijols, qui suit une formation à Fayence, m’a appris que Laurence, qui est une vélivole expérimentée, serait bien heureuse de partager un vol, j’ai bondi de joie et saisi l’occasion !

Après quelques SMS et appels, nous voilà donc à Fayence le 3 Juillet. Je suis très heureux et un peu impressionné de rencontrer pour la première fois Laurence, une femme très sympathique et très très très passionnée.

La journée est assez stable et trop ventée pour le parapente. Le briefing matinal du chef-pilote laisse espérer des conditions correctes dans les massifs.Pascal Salvi et Laurence Viard

Nous allons nous occuper à préparer et à acheminer vers la piste notre matériel, avec l’aide de « codisciples ». Planeur, parachutes, batterie, affaires perso. Tout est prêt.

Je découvre l’avance technologique du vol à voile, un live-tracking exhaustif et performant qui nous annonce que les meilleurs pilotes partis comme des balles pour un jour fumant, misèrent en apnée sous les sommets au Teillon puis sur la crête des Serres etc.

Laurence dégage la piste et se met en mode parawaiting. Elle passe plus de 300h par an dans le ciel, lors de journées toutes plus intéressantes que celle-ci. Nous allons attendre tranquillement une heure. Autant rester au sol que misérer à gratter en suffoquant, surtout pour un premier vol où je suis susceptible de vomir. C’est aussi ma philosphie ! Particularité du planeur, on attend à l’ombre de l’aile, on discute donc en ligne.

Nous finissons par nous installer dans F-CHTI, le décollage est éminent, il est plus de midi, de mémoire presque 13h. Je suis assez crispé pendant le tracté mais très vite je me sens complètement conforté dans la confiance que j’accordais au pilote ! Laurence sait exactement ce qu’elle fait.

Nous nous libérons de l’avion et nous allons sur les crêtes au sud du Lachens, une belle confluence s’y trouve. Premiers virages, nous sommes bas et c’est exactement comme en parapente, il faut faire gaffe à la montagne !!! Laurence enroule de préférence à droite (car les grands esprits se rencontrent).

Je ne suis pas aussi à l’aise qu’en enroulant en parapente, quelque chose me gène sans que je puisse dire quoi. Oui, ca y est, j’y suis, en fait Laurence ne met pas le son du vario. C’est une habitude prise dès sa période parapentesque. Cela porte inconsciemment mon regard sur les instruments à ma disposition, un altimètre analogique fort imprécis et un vario compensé (qui ignore les variations d’altitude purement liées au pilotage de notre aeronef comme par exemple les ressources). Nous dérivons davantage qu’en parapente car il y a un vent modéré, j’ai beaucoup de difficultés à percevoir que l’on monte à l’issue de chaque tour. Dans ce silence, j’ai l’impression que l’on tourne pour rien, alors qu’inéluctablement nous nous rapprochons des nuages.

Une chose me dérange encore, sans que je puisse encore savoir de quoi il s’agit…

Enfin libérés du thermique, nous prenons la direction du familier col de Bleine. Laurence accélère un peu la machine pour se caler dans les 150 durant la transition . Nous faisons le nuage à Fourneuby, en parapente on serait sur notre faim question plaf (1800),  mais nous prenons tranquillement la direction de Grasse. Mes repères sont mis à rude épreuve. Nous passons à hauteur du sommet de Calern, ce n’est pas un problème du tout pour continuer vers Grasse. J’ai déjà fait cette trajectoire de Calern au Sud en parapente, une fois dans les basses couches face à la brise je tombais littéralement du ciel et j’avais raccroché un extremis le premier relief en luttant. Mais là, on ne se rend compte de rien. Quelle machine ! Je comprends que l’on est comme un lion en cage aujourd’hui avec cette maudite stabilité. Une telle machine est faite pour tailler la route à coups de centaines de kilomètres.  Son terrain de jeu, c’est une bonne moitié des Alpes !!! Les fortes brises, les vents météos modérés et les ciels orageux ne sont pas un soucis notable.

Après un tour à Grasse, puis Saint-Vallier, nous misérons dans les gorges de la Siagne. Lo doit enrouler serré. Cà centrifuge !

Nous regagnons la conflu où nous avons commencé notre vol pour nous lancer vers le Col de Portes. 2-3 tours de thermiques et nous gagnons le Teillon sous le sommet. L’ouest bat généreusement les hautes herbes du petit plateau, là encore, en parapente on ne passerai pas au vent dans ces conditions, où alors après un très long combat héroïque. Pour nous c’est l’affaire de quelques secondes et d’un léger infléchissement de trajectoire.

Nous avons du mal à monter ici, tout comme un autre planeur et nous filons vers la Bernarde. Lo enroule comme une chef. Nous faisons le plaf de 2300 et après une crête des Serres snifée en 2 minutes sans avoir croisé de truc vraiment séduisant, nous revenons sur le Crémon. Là encore, une pure formalité. Nous sentons à peine les turbulences dans la partie sous le vent.

Re-Bernarde, re-Teillon où nous nous trouvons en finesse de Fayence. C’est par ici que je commence à comprendre que ce qui me gène un peu depuis le début du vol lorsque l’on enroule n’est autre que la force centrifuge !!! En parapente elle est négligeable mais en planeur elle est assez notable. Pour prévenir toute envie de vomir, je me force depuis le début du vol à commander mon regard. Mes membres commencent aussi à trouver le siège de moins en moins confortable. Bref, la fatigue gagne un peu.

Un glide pédagogique plus tard, nous voici en zone d’attente pour une approche au dessus du village, ça monte partout. Laurence annonce en radio le retour de F-CHTI, train sorti. En gérant son altitude avec les aérofreins, Lo fait une PTU parfaite. Nous posons en douceur, mais ça va vite quand même !!!

J’ai adoré cette expérience !!! Merci beaucoup beaucoup beaucoup Lo !

 

Comment j’ai anéanti Seykokazo (et sa clique)

Ah mon cher Seykokazo… si tu savais, entre nous c’est une longue histoire !
Je te connais depuis que j’ai commencé à voler, 2005.
10 ans tu imagines !
C’était avec les magazines. Au fil des numéros et des pages de résultats, des news et des portraits, j’ai suivi ton parcours. Une montée en puissance académique, méthodique, implacable.

Nous nous sommes un peu perdus de vue quand j’ai arrêté de lire la presse. A la louche après 2-3 ans de lecture. Tu sais, quand tu as l’impression d’avoir déjà lu l’article sur Annecy ou sur le pliage de secours, quand tu sais d’avance que la dernière aile est performante, bien finie, coûtera 500 euros de plus que celle d’avant et qu’elle possède un virage plus ou moins agréable. La lassitude…

Toi aussi, et ta clique, vous avez commencé à me lasser à cette époque. Un nom sur une ligne de résultats, la petite photo par ci par là, ou une news…. toujours pareil, trop de déjà vu.

J’ai pris tout le paquet de magazines et j’ai tout jeté. Je n’en ai jamais racheté depuis.
Bon, au début j’ai bien dû craquer une ou deux fois, dans un aéroport ou dans une gare. Aïe, déception immédiate, rien de nouveau sous les tropiques. Même sites, mêmes ailes, mêmes vols, mêmes Seykokazo and co.

Après, il y a eu un petit temps de tranquillité… puis tu es réapparu, c’était la montée en puissance du Web 2.0, des videos puis ensuite vint l’avènement de Facebook. WTF! L’attaque puissance dix.

Dans le mois, il y avait toujours un petit être virtuel pour partager et diffuser une de tes vidéos, un de tes records, ou des compéts PWC. J’avais chassé le magazine et tes news revenaient, envahissantes comme jamais. Mais bon, ne soyons pas mauvaise langue, le milieu du parapente est petit, et en plus d’être un champion, tu es une vraie personne. Tout ce qui arrive est un peu normal. Te souviens-tu de l’époque où circulaient des videos de PWC vue de l’intérieur, avec de l’eurodance de merde et ta clique de 150 clones dans des lieux paradisiaques à longueur de temps ? Ca parlait B1, discard et je ne sais quoi car je te l’avoue je n’en ai pas vu beaucoup. Il y avait une petit coté « Spring Break ».

SB Cancun logo - 3

Si les videos étaient à mourir d’ennui, il y avait aussi moults blogs de tes clones les starlettes. Je ne sais pas si tu en as un toi aussi. En tout cas, il y a parmi tes potes quelques sacrés sérial writers. Et comme pour vos vidéos de vacances, ils ont leurs fans et ça partage à fond ! On ne pouvait pas y échapper !

Au début, je me faisais avoir à chaque fois et j’allais lire par curiosité. Bon j’avoue que je me suis quand même bien marré des fois. Il y avait plusieurs styles de billets : soit des d’introspections stériles sur la compet de narcisse à PWC Superfinale à bidule truc. Soit des news genre « j’ai fait du vélo », « mon matos pour 2012 », « mon nouveau sponsor », « mes objectifs pour 2013″… soit aussi des branlettes aériennes lyriques genre « mon avis sur ce qu’il faudrait changer au scoring » « je suis un ex-winner et je déprime » … je crois me souvenir qu’il y a même un gars qui avait genre 20 visites par jours sur son blog et qui s’est mis à bloguer in english 🙂

Mais bon, 2-3 rigolades moqueuses pour une vingtaines de trucs insipides lus, le compte n’y était pas et c’est surtout, encore, une énorme lassitude que je garde en mémoire. Foncièrement, je m’en voulais de me faire avoir et de finir par lire ces conneries de la blogosphère pwc. Sur le fond, tu l’as bien compris, je m’en fous comme d’une grève de cheminots de vos compètes et de vos records. Je préfère encore le foot ou la pétanque.

Donc, grâce à toi et ta clique, il y a environ 3 ans, j’ai commencé à bricoler avec Facebook.

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Vas-y que je t’éradique systématiquement de mon univers cette pollution que constitue la news de Compétitor !

Yesss c’est bon ça !!!! Merci Facebook, ça marche très bien. En dernier recours, j’ai 2-3 amis qui font presque partie de votre clique et bandent systématiquement devant les exploits de chacun d’entre vous.

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Cela marche bien. C’est efficace comme la bombe nucléaire. Si tu ne peux disqualifier l’info car des fois la publi vient d’un fan et non d’une cible, tu dois dégommer son relai.

Franchement, avec ça et la centralisation des infos sur Facebook, chacun y trouvait son compte. Cela allait pas mal ces derniers temps. Tu faisais ta petite carrière de champion comme tu voulais et moi je t’avais (très vite) oublié.

J’avais même bénéficié de mon expérience avec toi pour traiter de la sorte avec les marcheouvoleurs / aventuriers de mes couilles. Tu devrais te méfier, c’est un secteur en pleine expansion qui va vous faire concurrence. Vous, vous êtes la noblesse, vous vous reposez sur votre réseau et vos acquis. Un peu comme ce qu’est la Variété pour la chanson française. L’aventurier lui, c’est un Rocker qui s’est fait tout seul.

Je dirais que, pour un hypersensible comme moi, ces gugus sont un peu moins nuisibles que toi et ta clique de Compétitors. Vous, vous êtes la lassitude et l’ennui incarnés. Tout vous est dû et vous ne vous foulez pas trop. Eux, ils font des trucs plus variés et intéressants. En se privant de leurs news, je risquerais de rater des trucs vraiment pas mal. Comme ils sont nombreux et ne sont pas aidés par la fédé, ils doivent faire beaucoup d’efforts pour se faire remarquer. Du coup c’est plus original qu’un « spring break » 😉

Enfin, je t’avoue mon cher Seykokazo, que dès qu’un aventurier de mes couilles commence à se prendre au sérieux, à se la pêter et à être sponsorisé, je dégage souvent ses news comme je t’ai montré plus haut.

Commentaires-indésirables-Wordpress

Venons-en à ce qui m’a donné la force d’écrire ce petit billet. Le cauchemar a commencé le jour où tu es revenu, plus fort et intrusif que jamais, alors que je pensais t’avoir bien gommé avec mes tricks Facebook. Ah mon dieu, je ne m y attendais pas !!!
Quelle énorme idée !
Une box Airtribune partout sur le site de la CFD.

« Collectif France » rien que ça ! Votre nom claque bien ! C’est fédéral mais pas vraiment assumé, assez élégant, avec des belles valeurs comme souvent c’est d’usage dans le Sport. Je mets une majuscule ça ne t’auras pas échappé 😉

Voilà contaminé le truc le plus vierge et neutre qui soit, le listing des vols du jour. Comme beaucoup, pour me changer un peu les idées, je vais y faire une petite visite quotidienne… et je ne te parle pas des périodes où ca vole bien. Il y a des fois des trucs sympa à voir. Moi, je suis fan absolu de Bruno Croue, Guigui évidemment et aussi Arnaud Baumy et aussi Dominique Guénard. Vers chez moi dans le 06 c’est de loin Tom Remi et le trop rare Luc mes contributeurs préferés.

Des fois je vois que tu apportes aussi ta petite contribution avec un beau vol. Bon y a du niveau, mais excuses-moi d’etre assez direct : pas de quoi mériter une pub lifetime !!! Pas de quoi être plus visible que ce que tu apportes.

Ta nomenclatura, elle ne trouve rien de mieux que de te placarder en t’imposant ici. Soit. Tu ne te rends pas compte parceque tu es le David Guetta du parapente, mais c’est violent.

Une unique box relatant les exploits des X pilotes de ce « Collectif France », bien visible sur chaque page. Comme ca, gratos, avec des centaines, des miliers de visiteurs, ni vu ni connu.

Alors j’ai repris du service pour pas avoir à te supporter trop longtemps.
Facile sur le web, en deux clics mon adblocker a désintégré le Collectif. Anéanti de mon ordi pour toujours.

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Pffff, par contre, il faut aussi que je te dise qu’il m’a donné du fil à retordre sur mon smartphone Androïd. Ton Collectif de mes couilles m’a fait perdre au moins 1 heure de ma vie.
Quelle galère, j’ai failli me résigner. J’ai testé au moins 10 adblockers, mais ils ne sont pas customisables comme sur le web.
J’ai du mettre un firewall (« Firewall sans Root » ici dans le Play Store) et filtrer l’ip de Airtribune (178.62.128.0, port 80). Pour le défraiement on fait comment ? Ton responsable fédéral me fait une licence gratuite?

Si je compte tout ce temps perdu, je me dis des fois que j’aurais mieux fait de vous admirer toi ta clique ton sport et tes records.
C’est bien le but non ?

Bonus de janvier 2016 : la CFD sans le spam des vols à l’étranger, c’est possible !

Le temps pourri de ce début janvier m’a laissé quelques créneaux pour résoudre un problème qui me titillait crescendo depuis quelque temps.

Le phénomène des vols à l’étrangers déclarés sur la CFD est apparu il y a 5-6 ans avec quelques branlos en vacances au soleil. Cela s’est vite démocratisé au point de pourrir systématiquement les listings :

polution

Selon la période c’est des overdoses systématiques de Pokora, Bir, Brasil. Ce n’est pas que je sois jaloux ou que je souhaite faire un déni du fait que certains français se gavent à l’autre bout de la planète pendant qu’on affronte la saison hivernale. Non, c’est juste que je souhaite mater uniquement les vols en France et que ces vols exotiques sont à mon sens une pollution. On se doute bien que la planète est ronde et que ça vole bien quelque part.

Il faut être particulièrement narcissique (et/ou mal élevé) pour se permettre de foutre son vol en sachant qu’il sera invalidé et qu’il n’a aucune légitimité à figurer dans la listing de la CFD. Mais là n’est pas le problème, ce qui m’a poussé à agir, c’est surtout que j’ai l’impression à chaque fois de perdre du temps et de subir de la daube pour rien.

Je suis arrivé à un stade où je n’en pouvais plus de chercher entre les lignes pour trouver les vols made in France. Donc, boom, je me suis énervé 1 heure pour régler le problème ! Bye bye les copains 🙂

Pour le faire vite, le principe est de mettre un plugin qui va activer automatiquement un javascript quand l’url est le site de la FFVL. J’ai trouvé « injector » sur Chrome http://neocotic.com/injector/.

injector

 

Le site de la CFD étant codé à l’ancienne (vous n’auriez pas par hasard tout claqué dans les « spring break » les gars ? ) , j’ai du me creuser les méninges pour créer un javascript capable d’identifier et de détruire mes cibles. C’est une boucherie !!!

var markup = document.documentElement.innerHTML;
markup = markup.replace(/<tr.+filtredep=[A-Z].+\/tr>\n.+\/tr>/igm,'<tr></tr>’);
document.documentElement.innerHTML = markup;

Et boom, plus de vol à l’étranger 🙂
clean

J’aurais pu en rester là, mais comme j’ai eu à me creuser la tête avec une regex de bourrin, maintenant qu’elle est faite et que le javascript va être injecté automatiquement à chaque visite, autant en profiter.

Je me suis fait un petit plaisir perso : renommer certaines personnes, starlettes, connaissances et même amis, par leurs petits surnoms 🙂

Par exemple :

markup = markup.replace(‘AUTOCENSURE‘,’Dalida’);
markup = markup.replace(‘AUTOCENSURE‘,’Fuckmeiamfamous’);
etc. etc.

Pour les gens qui seraient franchement borderline ou psychotiques, il est aussi possible de rayer complètement des individus de la liste. Il faut quand même avoir un grain ou un très très sérieux ressentiment envers un pénible de chez pénible pour en arriver là…

markup = markup.replace(/<tr.+CENSURE.+\/tr>\n.+\/tr>/igm,'<tr></tr>’);

Voilà ! Je suis assez fier de ma config. Avec Chrome lié à un profil Google, les extensions et leurs configurations me suivent quelque soit l’ordi que j’utilise. Me voilà relaxé pour un bon moment. De plus cette technique peut aussi être utilisée sur d’autres sites comme Facebook ou sur tout le web. Cela m’aurait été assez utile en 2007 etc. quand la presse en ligne pondait 25 articles par jour avec Sarkozy et qu’il était impossible de se tenir informé sur le reste de l’univers sans penser à cette odieuse et pathétique personne. J’aurais pu me soulager un peu en remplaçant son nom par un petit surnom sympa, voire par une image dégradante 😉

Merci la CFD de nous tirer vers le haut !